« TRIPPY MINDS » est un groupe d’auteurs compositeurs interprètes marseillais créatif dans le plus pur style Brit Pop des années 1960 à 1980.
Nous co-signons systématiquement nos compositions et notre style se veut une création originale ancrée dans la palette artistique de ce qui nous aura marqué à l’écoute de la musique pop anglaise.
Des Kinks, aux Beatles, du Floyd à Genesis, de T-Rex à Slade, de Bowie à Cure ou Depeche Mode.
The TRIPPY MINDS – DEVIL ON THE RIVER
The TRIPPY MINDS – TIME TO FLY
The TRIPPY MINDS – IM IN LOVE
The TRIPPY MINDS – RISE ME UP
The TRIPPY MINDS – FOREVER
The TRIPPY MINDS – DEMON LOVE
The TRIPPY MINDS – YOUR GAME
The TRIPPY MINDS – OTHER SIDE
The TRIPPY MINDS – EASY TO PLAY
Histoire du titre « Easy to Play »
J’avais vraiment envie d’écrire un titre comme si j’étais un ado dans les années 60. J’ai adoré découvrir le petit train d’interlude et ses rébus et sa musique à la guitare électrique : la même sonorité que dans le premier James Bond.
J’ai repensé à tous ces gimmicks qui font une chanson « sixties » chanté par les Yéyés ou par les Quilles avec des couettes !
Faire une chanson et mettre tous ces clichés sentant bon une douce nostalgie, mais bien entendu à des niveau différents .
Ensuite j’ai toujours voulu que ma musique ressemble à un tableau qui de loin semblerait simple, mais plus on s’approche, plus on découvrirait de petits détails.
Et que l’on finisse par comprendre que tout ce qui nous semblait simple, n’était que la somme de tant de petites choses précises et que chaque nouvelle écoute nous permette d’en découvrir d’autres.
Simple et ultra dense à la fois.
Quels que soient les titres des Trippy que vous écouterez, ils regorgent tous de références, de bruit de fond provenant des artistes que nous adorons.
Mais seule une écoute attentive vous permettra de résoudre les rébus sonores dont nous parsemons nos créations.
S’imposer des règles…
C’est la première fois que je me donne ce défi de me restreindre à une manière de faire un arrangement, et c’étais vraiment excitant.
Pas moins de 872 prises de son auront été nécessaires…
parce que chaque prise devait refléter à l’extrême précision des souvenirs d’enfance, parfois proches de la réalité, parfois juste ce qu’il en restait.
A titre d’exemple, « Your Game » n’aura généré que 64 prises de son.
« Easy to Play » est donc une « chanson filles avec des couettes » que je vous propose d’écouter, en espérant que cela vous plaise un peu…
« Annie Song » a très longtemps été son titre…
Annie fut l’éphémère rencontre dont on ne saura jamais si elle aimait les sucettes ou pas.
Et c’est de cette pieuse association qu’est venue l’idée des années 60.
